Les chroniques d'Erick

LA DÉFINITION DE LA SANTÉ
SELON L’OMS

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) définit la santé comme « un état de complet bien-être physique, mental et social, qui ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ». La santé est ainsi prise en compte dans sa globalité. Elle est associée à la notion de bien-être.

Tournée vers la qualité de la vie, la santé devient la mesure dans laquelle un groupe ou un individu peut, d’une part, réaliser ses ambitions et satisfaire ses besoins, et, d’autre part, s’adapter à celui-ci.
Cette approche englobe tant les éléments médicaux stricto sensu que les déterminants de santé et concerne la santé physique comme la santé psychique. Selon l’OMS, les déterminants sociaux de la santé sont « les circonstances dans lesquelles les individus naissent, grandissent, vivent, travaillent et vieillissent ainsi que les systèmes mis en place pour faire face à la maladie ». Ces déterminants ont donc vocation à évoluer au gré du développement des mineurs/jeunes majeurs et peuvent relever de la sphère médicale, pédagogique, éducative et familiale.

Trois grands concepts émergent de cet élargissement de la définition de la santé. 
Il s’agit de la prévention, de la promotion et de l’éducation pour la santé.

1 - La prévention est selon l’OMS en 1948, « l’ensemble des mesures visant à éviter ou réduire le nombre et la gravité des maladies, des accidents et des handicaps ».

Trois types de prévention ont été distingués :
-    la prévention primaire, ensemble des actes visant à diminuer l’incidence d’une maladie dans une population et à réduire les risques d’apparition ; sont ainsi pris en compte la prévention des conduites individuelles à risque comme les risques en terme environnementaux et sociétaux ;
-    la prévention secondaire qui cherche à diminuer la prévalence d’une maladie dans une population et qui recouvre les actions en tout début d’apparition visant à faire disparaître les facteurs de risques ;
-    la prévention tertiaire où il importe de diminuer la prévalence des incapacités chroniques ou récidives dans une population et de réduire les complications, invalidités ou rechutes  consécutives à la maladie.

2 - La promotion
La Charte d’Ottawa, établie à l’issue de la première Conférence internationale du 17 au 21 novembre 1986 et ratifiée par la France, précise que la promotion de la santé a pour but de « donner aux individus davantage de maîtrise de leur propre santé et davantage de moyens de l’améliorer». 

De façon pratique, la promotion de la santé se décline en 5 axes que sont :
-    l’élaboration de politiques favorables à la santé, 
-    la création d’environnements favorables, 
-    le renforcement de l’action communautaire, 
-    l’acquisition d’aptitudes individuelles et la réorientation des services de santé.

3 - L’éducation pour la santé comprend tous les moyens pédagogiques susceptibles de faciliter l’accès des individus, groupes, collectivités aux connaissances utiles pour leur santé et de permettre l’acquisition de savoir-faire permettant de la conserver et de la développer.


👁 ️ Adoptons une vision élargie de la médecine qui intégrerait les leçons de son histoire séculaire.

En tenant compte de la définition donnée par l’OMS, quelles pourraient être les ouvertures à des médecines naturelles?

Nous pourrions envisager plusieurs directions possibles comme :
-    Adopter une approche intégrative qui combine médecines naturelles et médecine conventionnelle, en reconnaissant les compétences des praticiens en médecines naturelles qui ont démontré leur efficacité depuis de très nombreuses années.
-    Encourager la recherche sur l'efficacité et la sécurité des médecines naturelles, notamment à travers des essais cliniques.
-    Former les professionnels de santé sur les différentes approches disponibles et éduquer le public sur les médecines naturelles bien moins onéreuses.
-    Intégrer des pratiques naturelles comme la phytothérapie dans des programmes de prévention et de promotion de la santé.
-    Valoriser la médecine personnalisée en offrant des alternatives adaptées aux besoins des patients.
-    Respecter les systèmes de santé traditionnels et les pratiques culturelles qui utilisent des médecines naturelles, tout en veillant à leur sécurité et efficacité.
-    Mettre en place des systèmes de suivi qui seront répertoriés pour évaluer l'impact des traitements complémentaires sur la santé globale.

Et pourquoi l'intégration des médecines naturelles dans le système de santé ne serait-elle pas possible dans un cadre respectueux, en cherchant à améliorer le bien-être global des individus tout en garantissant leur sécurité ? De plus, cela pourrait s'avérer moins coûteux dans l'ensemble, car cela nécessiterait moins de personnel administratif en amont.

Dépression et règles douloureuses

Une étude publiée dans "Briefings in Bioinformatics" révèle que la dépression pourrait intensifier les douleurs liées aux règles. Un travail qui confirme que notre corps et notre esprit sont étroitement liés.

DYSMÉNORRHÉE
C'est le terme médical donné aux crampes qui précèdent ou accompagnent les règles.
Selon l'Insem, environ 90% des femmes réglées de 18 à 49 ans présentent une dysménorrhée. 40% souffrent d'une forme modérée à sévère.
Les causes de ces douleurs peuvent être variées. L'endométriose, qui concerne environ 1 femme sur 10, pourrait expliquer une partie des cas. D'autres facteurs ont parfois été avancés comme des malformations utérines, des maladies inflammatoires du bas-ventre. Certaines maladies comme l'obésité ou même le tabagisme, semblent aussi jouer un rôle....
Autant de facteurs de risques auxquels il faudra peut-être ajouter la dépression.
Saviez-vous que les femmes sont deux fois plus touchées par la dépression que les hommes ? Ce chiffre interpellant a poussé des chercheurs chinois et britanniques a explorer plus en détail, un éventuel lien entre santé mentale et santé reproductive. Leur étude, qui a analysé les données de plus de 600 000 personnes en Europe et 8 000 en Asie, révèle des résultats surprenants.

LA DÉPRESSION : une cause plutôt qu'une conséquence
Contrairement à ce que l'on pourrait imaginer, les chercheurs n'ont trouvé aucune preuve que les douleurs menstruelles augmentent le risque de dépression. En revanche, la dépression augmenterait bien les risques de souffrir de règles douloureuses.

LE RÔLE DU SOMMEIL
L'étude met également en lumière le rôle crucial des troubles du sommeil comme médiateurs entre la dépression et les douleurs menstruelles. Les perturbations du sommeil, fréquentes chez les personnes dépressives, pourraient en effet exacerber les douleurs menstruelles. "Il peut donc être essentiel de traiter les problèmes de sommeil dans la gestion des deux autres pathologies " soulignent les auteurs.

 

🤓 UNE AUTRE VISION DU PROBLÈME

Notre corps parle. Encore faut-il l'entendre et décoder son langage.
Michel Odoul nous en parle dans son livre « Dis-moi où tu as mal, je te dirais pourquoi. Les cris du corps sont des messages de l'âme : élément de psycho énergétique ».

Un autre auteur, Jacques Martel, nous explique dans son livre "Le grand dictionnaire des malaises et des maladies", que les émotions mal gérées ont un impact sur notre santé. Par une prise de conscience et en nous permettant de nous aimer et de nous accepter, nous pouvons effectuer les changements nécessaires dans notre vie pour recouvrer la santé.


 

Pourquoi a-t-on des corps flottants devant les yeux ?

Des filaments ou des points noirs semblent flotter devant les yeux en permanence. Ils traduisent souvent une myodésopsie. On les appelle souvent des « mouches volantes ». Ce trouble très fréquent n’est en général pas grave en soi… Il s’agit d’un décollement postérieur du vitré. Sur ces zones, une ombre se forme qui accompagne les mouvements du globe oculaire.

C’est en général le vieillissement de l’œil et du corps vitré en particulier qui est à l’origine de ces corps flottants devant les yeux.
Cependant, certains facteurs favorisent leur apparition :
- la déshydratation et la sécheresse oculaire,
-    le stress qui augmente la pression intra oculaire,
-    la fatigue.

Quand s’inquiéter ?
Une autre cause peut être la présence de cellules sanguines à l’intérieur de la cavité vitréenne. Le saignement peut provenir d’une déchirure rétinienne ou la présence de néo-vaisseaux rétiniens, conséquences possibles du diabète ou d’une occlusion de la veine centrale de la rétine.
Donc, il est important de consulter un ophtalmologue si ces éléments deviennent trop volumineux et ont un impact majeur sur la vision. « Leur ablation chirurgicale ou via un geste thérapeutique au laser peut être discutée »

Sources : Cabinet d’Ophtalmologie des Flandres.

 

👉 D’AUTRES SOLUTIONS EXISTENT

Il peut être conseillé de prendre du Dissolvurol en gouttes. Ce silicium est très bien assimilé par tous les tissus du corps humain et peut aider à améliorer ou faire disparaître cette gêne.